N’hésitant pas à déserter son flanc,
il s’est résolu à aller secouer le cocotier sous toutes les latitudes, ce qui a grandement servi les desseins d’une équipe qui n’en finissait pas de se chercher tout au long d’une première période poussive à souhait. Au four et au moulin, selon la formule consacrée,
Frédéric a d’ailleurs été un des maillons décisifs sur le but d’ouverture, celui qui a ôté la grosse couche de doute qui empêchait les initiatives liégeoises de submerger enfin la défense anversoise.
Source : dhnet.